Y'en a marreuh, j'me casse!
*Claque la porte de son bloug en vue de nouvelles aventures!*

New bloug de mon coeur:

M'S WORLD

Première vrai nuit de sommeil depuis 1 semaine de vacances! Le grand panar après l'odyssée mit BrOsS'
BrOsS' cey la nana qui t'emmene en plan carotte mais, qui pour finir n'est pas carotte,
cey la nana qui ramène a bouffer pour deux alors qu'on est 5
Cey la meuf qui veut te laisser dormir chez un pervers avant de te trainer dans toute la ville à 2h du mat'.
BrOsS' cey la nana qui te sac à 9h alors que tu t'es couchée à 2h pour faire: centre-ville, maisons,lycée,maison, Cey aussi la meuf qui te met des films auxquels tu comprends rien avant de t'en mettre un qui fait peur, que t'as tellement peur que tu t'endors. BrOsS' cey aussi une nana un peu parano qui se tape des bonnes barres toute seule même si elle se prend la tête pour d'la merde des fois! Cey la meuf qui dit à tout le monde que son copain y'en a marre mais que tout le monde sait que cey pas vrai et que, en vrai elle le lacherait pour rien au monde. BrOsS' cey une de ces nanas grave sympas que tu connaissait pas avant et que maintenant t'es bien content de te poiler avec..... BrOsS' Batatchefsque l'a un coeur gros comme ça; et même qu'elle est coul comme ça! 

Pix: BrOsS' Batatchefsque en Salle d'Art.

Celui qui a dis que les liens du sang étaient les plus forts devait être un connard orphelin, fils unique sans famille. Ou alors un trou du cul tellement pété de tunes que toute sa famille lui vouait une affection sans borne: C'te Blague.
Mais d'ici mes 18ans je me ferais engrosser par le vigil du Leclerc sur le parking et comme ça j'aurais la chance de vous voir avant que vous soyez mort et que je mette mon gosse à la Dases parce que je saurais pas le gerer, n'est-ce-pas merveilleux tout cet amour famillial?

Si j'étais tout ce qu'on voudrait que je soit, je ne serais plus Moi. Je suis fatiguée, épuisée mentalement par tout ce qui m'entoure. Je ne suis pas assez comme Elle et trop comme moi-même, et putain foutez moi la paix. "J'vais être vulgaire mais: Je t'emmerde" j'ai façonné une carapace contre le Monde, mais je crois que j'ai oublié le bon de garantie à vie car elle commence à se fissurer de partout et c'est super pas bon. Mais bon d'ici quelques semaines de lourd sommeil tout sera au poil.
D'ailleurs à 20h50 je m'en vais de ce pas PIOTER !

"Mais c'est pas ta faute
C'est ma faute à Toi
Toi qu'es trop belle
Et les belles elles sont cruelles"

*Coup d'coeur du moment, Ma faute à Toi, La rue Kétanou*

Tout tourne autour de Toi. Tu m'énerves, tu m'fous la rage, depuis le débout y'en a que pour ta gueule et tu m'fous en rogne. Le problème c'est qu'a trop jouer avec le feu on finit par se brûler. Cette fois je m'étonne moi-même de ma patience et pourtant ça fait un pti moment que tu m'tue sévère. T'as même pas vu quand j'allais trop mal pour sourire, quand j'étais tellement perdue que je craquais de partout, tu ne vois que Toi et encore une fois t'as pas entendu mon appel, tu pas vu que j'étais perdu, que j'avais besoin de Toi, nan il a fallu que tu ramènes tout à Toi avant de finir par dire que c'était moi qui ne comprennais rien. Putain tu m'fous la rage. Tu sais que je t'aime, tu sais que je creverais si tu me le demandais, tu sais que tu fais partie des rares à savoir tout et pourtant, tu m'tues. Cherche pas à refaire le passé, je laisse tomber, j'ai plus le courage d'attendre que tu me voies.

J'ai une gueule de bois qui me tue l'cerveau bordel. J'ai pas mal de souvenirs qui manquent, je crois que j'ai fais des conneries, comme d'hab. Rhalala comment que c'était trop poilant, brefouille, WE de 3 jours----> DODO POWAAAA

Et je vois ta petite gueule veule et porcine, j'voudrais te bouffer les tripes tandis qu'il te ravage. Et dans ta tête le sang bouillone, tu ne vois plus, tu ne sens plus, c'est le silence, la mort. Les jambes autour de son torse, tu t'ouvres comme un livre, catin sans honneur, tu ne repestes plus rien ni personne pas même ta pauvre existence de merde. Et le plaisir t'emporte, remonte le long de ton corps, bouffée d'air chaud qui te fais imploser. Et soudain tu te rapelles qu'il ne fait que te baiser. C'est triste, oh si triste que t'en as la gerbe, que tu voudrais en crever.  Je rigole à la face du monde et je me jette du haut de la falaise avec plaisir, je m'éclate au sol, un sourire dans une marre de sang et l'échos qui renvoie mon éclat de rire. Si drôle d'en finir.
Une veine bas sur ta tempe, doucement, tout doucement. Un tourbillon de fumée, encore et encore, tu n'es pas redescendue mais tu sais que tu n'es pas allongée au pied de la falaise mais juste sur ton putain de trottoir. Relevée, debout sur tes talons aiguilles détruits, ton décolleté mal remis, tu remontes la rue en roulant du cul comme la pute que tu es. Encore une voiture qui s'arrête, et tu es repartie, encore.

Et si je te disais d'aller te faire foutre? Tu n'as pas compris, tu ne comprendras jamais. J'ai cru que tu m'avais écoutée, que tu m'avais comprise et surtout que tu voyais tout ce que ça impliquait. Mais t'as rien fait de tout ça, tu continues, tu fais la sourde oreille face à mes appels incessants. Mais, bordel tu les vois pas tout ces ravages sur ma gueule éclatée? Tu sens pas comme un malaise quand je suis là? Tu n'as pas encore vu tout ce que je ressens, toute cette peur, cette colère et cette envie de gerbe qui me tenaille? J'aurais voulu que tu comprennes ce qui se passe dans mon esprit, j'aurais voulu que tu saches voir à travers ce que je ne dit pas et ce que je te laisse entendre. Trop dur, t'as j'amais vraiment essayé alors pourquoi aujourd'hui? Mais t'as raison, c'est ma vie, pas la tienne alors laisse moi je trouverais quelqu'un pour comprendre. J'irais décevoir quelqu'un d'autre en faisant ce que t'as toujours détesté: "vivre"

"Je dégueule sur la facticité des sentiments" *Hell

Montée sur mes hauts talons, je suis le bitum de notre pénitencier. Je relève le regard des pervers et ceux des putes, les regards qui me violent et ceux qui me tuent. Mais je te gerbe à la face, je t'égorgerais et te ferais pleurer, je régurgite ce qui me reste d'humanité, ce qui me reste après tout ce que j'ai noyé.

Aujourd'hui j'ai entrevu l'Homme, pieds nus dans les écuries, je crois bien que c'est la première fois qu'ils voyaient une tarée pieds nus au milieu des boxs. J'aime cette odeur de paille, de cheval, de cuir vieillit de tout et je sens ses vêtements, sa peau qui en sont imprégnés et j'aime, j'aime tellement alors je prends tout, son sourire, ses mains, son visage, ses lèvres tout. Je ne laisse rien, je dévore jusqu'à la dernière touche douceur, jusqu'à l'épuisement de ses souffles, jusqu'à ce que je pense à tout ça comme si çe n'était qu'une fabulation excentrique de mon imagination accaparée par Lui. Je crois voir ses traits, et ce ne sont vraiment les siens que lorsqu'il se penche en souriant pour saisir le peu que j'arrive à lui donner. Je voudrais que tu sentes tout ce que j'éprouve, comme si tu pouvais m'arracher le coeur et sentir dans tes mains toutes les palpitations, tout les bâtements.

"Et j'ai voulu fuir au rythme de tes pas martelant le sol, et je suis restée, ta main dans la mienne pour me retenir." *M'S